« Épargner, c’est bien, surtout quand nos parents l’ont pratiqué. Le compagnon de Mark Twain lui donne tort. C’est leur propre épargne, accumulée pendant la période pandémique, qui leur a permis de réduire leur taux d’épargne (4,4 % du revenu disponible) et de livrer un printemps meilleur que prévu en avril.
« Cela incite à l’optimisme pour la croissance américaine à la mi-2022, bien que la consommation devrait commencer à ralentir au second semestre et que les risques d’un ralentissement plus marqué que prévu restent importants », ont déclaré les économistes. .
Ils estiment toujours le surplus de matelas, par rapport à la tendance pré-Covid, à près de 10% du PIB, sans prédire une baisse du taux d’épargne, en raison de la baisse des prix des actifs, de la hausse des taux d’intérêt, des crédits et de l’inflation.
A noter
Le taux d’épargne estimé des ménages américains en avril – 4,4 % du revenu disponible – est inférieur de trois points au niveau pré-Covid et au plus bas depuis début 2008, a également relevé LBPAM. Ceci pourrez vous intéresser : Incendie au siège central : La faute à un matelas, selon la police.
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