Le Conseil de l’Europe a publié mardi 29 novembre un rapport dénonçant le « problème récurrent » de « la violence des détenus » dans les prisons belges, qui est « clairement liée à la surpopulation » et au sous-effectif.
Le rapport a été préparé par le Comité européen pour la prévention de la torture (CPT), l’un des organes du Conseil de l’Europe, à la suite d’une visite ad hoc dans quatre prisons belges à Anvers, Lantin, Saint-Gilles et Ypres en novembre 2021.
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«Problème récurrent»
« La violence des détenus était un problème récurrent dans les établissements visités, comme l’ont reconnu la direction et certains membres du personnel », écrivent les auteurs du rapport. « Ce problème était clairement lié à la surpopulation, notamment dans les cellules où il y avait plus de détenus que de lits », poursuivent-ils. A voir aussi : Profitez d’un confort de sommeil optimal grâce à ce pack Emma avec matelas, oreiller, couette à prix discount. Ils citent également le « manque de personnel » et la « présence insuffisante de personnel » comme causes de la violence.
Selon eux, la surpopulation carcérale est un « gros problème » et « depuis longtemps » en Belgique, affectant « l’ensemble du système pénitentiaire ». Ils prennent l’exemple de la prison d’Anvers, où lors de leur visite 78 hommes et 12 femmes « ont dû dormir sur des matelas à même le sol ».
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Le rapport pointe également la « vétusté généralisée » des prisons visitées et une propreté « souvent insatisfaisante » dans les « cellules des dépendances psychiatriques » à un niveau « très préoccupant ». De même, la présence de personnel médical dans les prisons est « manifestement insuffisante ».
Le CPT note également que « la grande majorité des détenus » n’avaient « pratiquement aucune activité » et passaient ainsi « jusqu’à 23 heures par jour » en cellule. La « faible présence du personnel », le « grand nombre de postes vacants » et le « taux d’absentéisme élevé » sont mis en avant.
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«Poursuivre la lutte»
À la lumière de ces constatations, les auteurs recommandent aux autorités belges d’améliorer la formation du personnel pénitentiaire sur la prévention de la violence. Sur le même sujet : Matelas : quels sont les critères d’un bon sommeil ?. Ils appellent Bruxelles à poursuivre la lutte contre la surpopulation carcérale et à développer des « programmes d’activités » pour les détenus.
Le gouvernement belge, dans une réponse au Conseil de l’Europe, annonce son intention de présenter « avant fin 2022 » un « nouveau projet de code pénal » dans lequel l’emprisonnement devient « la dernière réponse » (« ultime recours ») là où les peines d’emprisonnement de moins de 6 mois « ne peut être légalement imposée par les juges ». Il mentionne également l’installation de lits superposés pour éviter d’avoir des matelas par terre.
Où sont enterrés les prisonniers ?
Un cimetière de prison est un cimetière réservé aux cadavres des détenus. Ceci pourrez vous intéresser : Pleine Lune Mars 2022 : Les meilleurs produits anti-fatigue à éviter. Généralement, les restes des détenus non réclamés par la famille ou les amis sont enterrés dans un cimetière de la prison, y compris ceux reconnus coupables de crimes capitaux.
Qui lave les prisonniers ? Les draps sont généralement lavés toutes les deux semaines par l’administration pénitentiaire. Un nouveau résident doit également trouver des draps et des couvertures propres à son arrivée. En fait, ces normes varient considérablement d’un établissement à l’autre.
Quel pays compte le plus de prisonniers ? La population carcérale des États-Unis est la plus importante du monde : plus de deux millions de prisonniers. Ce nombre s’ajoute à un taux d’incarcération (nombre de prisonniers pour 100 000 habitants) de 639, encore une fois le plus élevé au monde.
où est un prisonnier Recherche d’un prisonnier civil
- soit le registre de la prison concernée,
- soit les archives départementales du ressort de l’établissement visité en dernier lieu par le détenu,
- ou, pour les cas les plus récents, les services de la direction interrégionale de l’administration pénitentiaire concernée.
Quelles sont les conditions de vie des prisonniers ?
Selon les normes internationales, les prisonniers se voient seulement refuser le droit à la liberté. Par conséquent, en théorie, ils peuvent profiter de tout le monde. Ils doivent vivre dans des conditions décentes qui préservent leur dignité et être nourris, habillés et logés normalement.
Quelles sont les conditions de vie dans les prisons françaises ? Surpeuplement chronique, état de délabrement, mauvaise santé, manque d’hygiène, manque d’intimité provoquant violences et tensions, manque d’activités…
Quelles sont les conditions de détention ? L’application de l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme définit qu’une personne détenue doit disposer d’au moins 3 m2 d’espace personnel, hors sanitaire. De plus, la situation est jugée particulièrement risquée pour les surfaces comprises entre 3 et 4 m2.
Comment vivent les prisonniers ?
La nuit, les détenus restent dans les centres de détention provisoire de 19 heures à 7 heures du matin, dans les cellules de la prison de 20 heures à 7 heures du matin. Les repas sont distribués dans les cellules. Dans la maison d’arrêt il peut y avoir plusieurs détenus par cellule, ils sont généralement seuls dans un établissement pour leur peine.
Comment sont traités les détenus ? Tous les détenus sont traités avec le respect conforme à la dignité et à la valeur humaines inhérentes.
Comment mangent les détenus ? Pour toute surtaxe, les détenus doivent s’approvisionner auprès de la « cantine », une entreprise de vente par correspondance gérée par l’administration pénitentiaire. De plus, le réfrigérateur [est] loué 7,50 euros par mois. » Lors de visites à la prison, de nombreux proches de détenus violent alors l’interdiction d’apporter de la nourriture avec eux.
Qui est propriétaire des prisons ?
Tutelle. Les prisons françaises sont sous la responsabilité de l’administration pénitentiaire. Cette administration distincte, créée en 1795, fut d’abord rattachée au ministère de l’Intérieur avant de rejoindre le ministère de la Justice par décret du 13 mars 1911, dont elle est aujourd’hui l’un des cinq départements.
. Les détenus sont débités d’un compte interne, généralement tenu par des proches (80% de ceux qui se rendent au parloir soutiennent financièrement le détenu), l’argent n’étant pas autorisé à circuler dans la prison.
Comment vivent les prisonniers ?
La nuit, les détenus restent dans les centres de détention provisoire de 19 heures à 7 heures du matin, dans les cellules de la prison de 20 heures à 7 heures du matin. Les repas sont distribués dans les cellules. Dans la maison d’arrêt il peut y avoir plusieurs détenus par cellule, ils sont généralement seuls dans un établissement pour leur peine.
Comment mangent les détenus ? Pour chaque surtaxe, les détenus doivent s’approvisionner à la « cantine », une entreprise de vente par correspondance gérée par l’administration pénitentiaire. De plus, le réfrigérateur [est] loué 7,50 euros par mois. » Lors de visites à la prison, de nombreux proches de détenus violent alors l’interdiction d’apporter de la nourriture avec eux.
Comment sont traités les détenus ? Tous les détenus sont traités avec le respect conforme à la dignité et à la valeur humaines inhérentes.
Est-ce que les prisonniers touchent de l’argent ?
Les détenus sont souvent en situation de précarité ou de pauvreté et peuvent bénéficier du Revenu de Solidarité Active avant leur incarcération.
Les prisonniers ont-ils un salaire ? Le salaire horaire minimum pour les activités dans le cadre du contrat de travail cadre est de : 4,98 € pour les activités de production. 3,65 € pour les services généraux, classe I. 2,77 € pour les services généraux, classe II.
Les détenus deviennent-ils chômeurs ? Si vous perceviez des allocations de chômage avant votre incarcération, cela entraînera la suspension de vos allocations de chômage si vous êtes emprisonné pendant 15 jours ou plus.