Et comment vas-tu? Si vous répondez « Bof, pas trop de morale ces jours-ci », ne vous inquiétez pas, vous êtes loin d’être seul. Janvier et ses 31 jours incessants, aussi courts soient-ils, représentent un défi pour beaucoup d’entre nous. L’apathie après le rush des vacances, le désert hivernal, les pics ensoleillés de février dont on se souvient comme d’un mirage… ambiance. On vous épargne des actualités assez effrayantes (crise, guerre, climat et virus) pour passer directement au remède : ce dossier conçu comme un guide anti-blues.
Ce numéro doit être conservé en lieu sûr car il vous sera sûrement utile plus d’une fois dans les mois à venir. Nous avons réuni un bouquet de personnalités qui ont en commun de profiter pleinement de la vie. Ces personnages, qui vous accompagnent au quotidien et que vous aimez, apparaissent sous leur plus beau jour dans ces pages. Nous l’avons interviewée pour percer les secrets de sa bonne humeur souvent à toute épreuve. Et puis on a listé des astuces santé imparables pour se mettre en forme, des blagues vraiment drôles, des films et séries à regarder 100 fois en riant à chaque nouvelle vision. Bref, de quoi vous remonter le moral et vous permettre d’affronter cette année 2023 pleine d’énergie et le sourire aux lèvres.
Phanee de Pool
Auteure-compositrice et chanteuse, Bienne, 33 ans
Phanee de Pool, 34 ans, est chanteuse et compositrice. Lire aussi : Sommeil : 4 techniques pour réussir à s’endormir. Il sera notamment au programme du Corbak Festival à La Chaux-du-Milieu le 25 mai.
«Un chocolat chaud maison et du vieux jazz sur vinyle»
Phanee de Pool, avez-vous une astuce imparable pour contrer la baisse de moral ? « Écoutez du vieux jazz sur vinyle tout en buvant du chocolat maison. Je le fais avec du lait d’avoine où je fais fondre du chocolat noir. Si c’est un peu amer, vous pouvez ajouter du sucre. Le blues de l’hiver, que l’auteur-compositeur-interprète et chanteur n’a plus connu depuis novembre 2021, l’artiste biennois a adopté il y a un peu plus de treize mois un chien des rues, une femelle prénommée Leone. . « Avec un compagnon comme ça, on n’est jamais misérable en hiver car il faut chercher de belles balades. Je grimpe souvent au-dessus du brouillard, dans le Chasseral et dans le Jura bernois, où habitent mes parents. Ceci pourrez vous intéresser : Disparition de Justine Vayrac à Brive : ces indices accablants retrouvés chez le suspect. » Cet animal s’est beaucoup battu avant de trouver un foyer chaleureux. « Leone était un chien errant en Sicile. Une famille l’a ramenée à Milan, mais l’a ensuite laissée derrière elle. Je l’ai adoptée de l’association qui l’a accueillie. Il a fallu quelques mois pour l’apprivoiser. Et maintenant, elle est adorable. »
Dans une autre vie, Phanée de Pool était policière. Elle rit de ce souvenir. « Mes collègues ont vite compris que ce n’est pas moi qui ai infligé le plus d’amendes dans tout le canton. » Cependant, sa joie de vivre et son enjouement ont fait mouche. « J’étais doué pour désamorcer les situations de crise. J’ai été appelé à ce type d’affaire car j’avais la capacité de relâcher les tensions en jouant le côté comique. En ce début d’année, l’artiste est de retour sur scène à partir du mois de janvier, les 10 et 11 à Illzach en Alsace et le samedi 21 à Domdidier (FR) à L’Aulahop.
Jérémy Seydoux
Rédacteur en chef de Léman Bleu, Genève, 26 ans
Jérémy Seydoux a rejoint Léman Bleu en 2014 en tant que chroniqueur. Lire aussi : Jenifer « complètement brisée »: cet « épisode tragique » l’a traumatisée à jamais. Présentateur de télévision, il en devient le rédacteur en chef en 2022.
«Faire de la vie une fête»
« Quand j’ai des problèmes, ce qui m’aide le plus, c’est d’en parler aux gens qui m’entourent. L’échange le plus fructueux se fait avec des personnes qui évoluent dans des milieux professionnels éloignés de moi. Les conversations que nous avons eues ensuite m’ont apporté beaucoup de recul et m’ont immédiatement remonté le moral. » Jérémy Seydoux, rédacteur en chef de Léman Bleu, se dit bouleversé par son sort. « En tant que journaliste, j’exerce un métier privilégié qui me permet de rencontrer en permanence des personnes extraordinaires, qu’elles soient connues ou non. »
Néanmoins, le Genevois est sensible au sort des personnes qui ont plus de difficultés que lui. « Je n’ai pas d’autre conseil que d’essayer de profiter au maximum de chaque jour. Personnellement, j’ai eu beaucoup de chance parce que j’ai l’impression d’avoir trouvé ma place dans ce monde maintenant. Jérémy Seydoux, haut de près de 2 mètres, s’y suicida sans ménager ses forces. « Mon père, qui est entrepreneur, m’a donné ce drive, un puissant antidépresseur. » Il est le premier à apprécier toute occasion de faire la fête ou de se lancer dans un voyage à l’opéra. Pour le joueur de 26 ans : « La vie devrait être une fête. »
Nuria Gorrite
Conseillère d’Etat du canton de Vaud, Lausanne, 52 ans
La conseillère d’Etat aux transports et à la culture, élue en 2012, aime les lutins.
«Le bruit de la pluie et autres petits bonheurs»
Comment vas-tu, Nuria Gorrite ? « Je suis génial! » Dans ses fonctions, comme à la ville, la conseillère d’Etat vaudoise pétille d’une énergie contagieuse. « Attention, ne pensez pas que tout est toujours facile. Les politiciens ne sont pas des robots. Comme tout le monde, j’ai mon lot de difficultés à surmonter. En tant que ministre de la Culture, de l’Infrastructure et des Ressources humaines, l’actrice a des idées très claires sur ce qu’elle attend de la vie. « La quête du bonheur est une quête totalement illusoire. De nombreuses personnes ont du mal à joindre les deux bouts car elles doivent concilier travail et famille au quotidien. Face aux réalités quotidiennes, l’impératif d’abondance ne conduit qu’à l’épuisement moral. Par contre, ça a du sens de chercher les petits plaisirs, les choses qui nous font du bien. » Par exemple, le froid est l’occasion pour elle de s’envelopper dans une couverture sur son canapé et de se plonger dans la lecture avec une cannelle infusion. « Je chéris ces moments privilégiés. »
Le Suisse d’origine hispano-basque est un ami de l’hiver. « C’est la saison la plus intense. Le lac Léman prend des couleurs extraordinaires. j’aime la tempête J’aime le bruit de la pluie et l’odeur de la terre détrempée. » Sa playlist ? « Les Pixies et d’autres groupes de rock. Je suis une fille des années 80. Rien ne vaut « A Forest » de The Cure dans vos écouteurs pour une promenade par mauvais temps. »
André Borschberg
Entrepreneur et cofondateur de H55, Sion, 70 ans
André Borschberg ne veut pas ralentir.
«Exercer une activité qui a du sens»
Avec la start-up H55, qu’il a co-fondée en 2017, André Borschberg développe des solutions pour faire voler des avions sans utiliser d’énergie fossile. Une technologie basée sur son système de propulsion électrique a séduit au printemps 2022 l’un des plus grands motoristes d’avions au monde, la firme américaine Pratt & Whitney. Celui-ci équipera une nouvelle génération d’avions régionaux hybrides. « C’est une grande satisfaction de voir qu’un leader mondial dans son domaine s’intéresse à un nouveau type de produit d’un petit pays comme le nôtre. »
Le pilote et ingénieur, qui a signé le plus long vol solaire électrique de l’histoire aux côtés de Bertrand Piccard à la barre de Solar Impulse, poursuit : « Contribuer à résoudre la crise climatique est une tâche qui en vaut la peine. Ce travail me procure une grande joie. » Cette recherche de sens est une motivation répandue, notamment chez les jeunes. Après une présentation H55 que le Valaisan a donnée à Montréal, Canada, l’entreprise a reçu environ 150 candidatures spontanées. Une entreprise qui souhaite également recruter 45 collaborateurs en Suisse.
Même si André Borschberg a entre-temps dépassé l’âge de la retraite, il ne veut pas ralentir. « C’est un sentiment exaltant de pouvoir faire avancer les choses et de rendre le monde plus responsable. » En matière d’équilibre, l’aventurier préfère les choses simples : « Pour me ressourcer, je me tourne vers la nature. Je pratique également le yoga et la méditation, des techniques qui m’ont permis de voler en solo sur Solar Impulse pendant cinq jours et cinq nuits sans interruption.
Silke Pan
Acrobate, Aigle (VD), 49 ans
Silke Pan, un destin et une force extraordinaires.
«Accepter ce que l’on ne peut pas changer»
« Face aux difficultés, il faut devenir son propre coach. Le bonheur se construit. Si nous le voulons vraiment, nous pouvons l’obtenir. La meilleure façon d’y parvenir est par le biais d’un travail qui permet de reconstruire l’estime de soi. » Aussi douce que gentille, Silke Pan sait de quoi elle parle. Cette femme, acrobate de cirque, a fait une chute de trapèze en 2007 qui l’a laissée paraplégique. Depuis deux ans, elle remonte sur scène avec des numéros dans lesquels elle exécute des tours qu’elle ne peut réaliser qu’à la force de ses bras. Le professionnel du divertissement le dit simplement : « Maintenant, je suis heureux. »
Avant que les choses ne reprennent à plein régime en début d’année, Silke Pan a appris beaucoup de nouvelles choses ces dernières semaines. Sanglé dans un exosquelette robotique, l’artiste a présenté un spectacle de danse à Lausanne sur une chorégraphie du danseur du Béjart Ballet Antoine Le Moal. L’Aiglonne était également au programme du Cirque de Noël de Lieberum en Allemagne. Elle a également participé au Festival international du cirque Auvergne Rhône-Alpes Isère à Grenoble, qui a accueilli près de 20 000 personnes.
L’acrobate retient la douleur de son accident, contre laquelle la médecine ne peut rien. Elle les apprivoise par la pratique de la méditation. « Je fais des exercices de visualisation où la douleur quitte mon corps et disparaît comme un nuage dans le ciel. » Quelle leçon de vie tire-t-elle de son expérience ? « Vous devez accepter ce que vous ne pouvez pas changer et vous fixer de nouveaux objectifs pour les atteindre. »
Jérôme Aké Béda
Patron et sommelier à l’Auberge de l’Onde, Saint-Saphorin (VD), 60 ans
Jérôme Aké Béda : « Je suis toujours de bonne humeur ! »
«Passer du temps avec mon âme sœur»
« Je suis toujours de bonne humeur. J’ai décidé de prendre la vie du bon côté. C’est ma philosophie. » Propriétaire de l’Auberge de l’Onde à Saint-Saphorin, où il est également sommelier, Jérôme Aké Béda n’a pas choisi un métier facile. Né à Abidjan en Côte d’Ivoire, il a étudié l’hôtellerie avant d’atterrir en Suisse à l’âge de 26 ans. Il se lance dans une carrière dans la gastronomie, ne craignant ni les horaires ni les charges de travail impossibles. Lorsqu’il découvre le cadre magique de Lavaux, il décide de ne plus jamais le quitter, d’autant plus qu’il est tombé amoureux de l’univers du Chasselas Une passion qui l’a conduit vers l’excellence En 2015, il est nommé « Sommelier de l’année » par le guide GaultMillau. Sa consécration fera le tour du monde.
Des décennies de nuits avec cinq ou six heures de sommeil n’ont pas refroidi son enthousiasme. Son secret est romantique. « Quand j’ai une baisse de moral, ça ne dure jamais longtemps grâce à mon amour. Tout le monde l’appelle Chanchan. Quand je suis avec elle, tout va bien. » Le sommelier-gastronome profite de ses jours de repos pour aller au théâtre avec sa compagne. « Plusieurs amis ont des théâtres sur la Riviera. On essaie d’aller au maximum de productions. » Et puis bien sûr il y a le Chasselas. » Je ne rate jamais une dégustation. Dans ce cadre magnifique, au milieu des montagnes, on rencontre beaucoup de monde. C’est l’occasion de faire des découvertes utiles à mon travail, comme de passer des moments enchanteurs instants. »
Martina Chyba
Journaliste et écrivaine, 57 ans
Martina Chyba : « C’est le privilège de la vieillesse : on perd l’équilibre, mais on gagne en calme. »
«Mon elixir magique, c’est l’art»
Aux yeux du public, Martina Chyba est exemplaire par ce dynamisme sans faille qui imprègne ses chroniques sur de multiples supports. D’où tire-t-elle toute cette énergie ? « Mon élixir magique est l’art. Je peux immédiatement recharger mes batteries en visitant un musée. Il y a des œuvres qui accompagnent toute ma vie. » La journaliste de la RTS est née de parents qui ont fui Prague communiste pour la Suisse et est fan d’Egon Schiele. Connu pour ses silhouettes vives mais souffrantes, ce peintre a vécu à Vienne vers 1900. Cette ville était alors la capitale culturelle de l’Europe centrale. « La carrière d’Egon Schiele correspond sans aucun doute à mon histoire personnelle », poursuit-elle. L’art est une joie pour moi, j’en parle dans mon dernier livre. Ce roman intitulé « Rendez-vous » (éd. Favre) raconte la souffrance d’un Genevois qui ressemble beaucoup à l’auteur. « Les lecteurs me disent qu’ils se sont retrouvés dans les mots du livre. Ça me touche profondément. » Les protagonistes du livre sont des personnes de plus de 45 ans qui sont confrontées à des réalités telles que les sites de rencontres, la chirurgie esthétique et les dangers physiologiques. Autant d’épisodes que Martina Chyba évoque comme à son habitude sans tabous.
« Avec le temps, nous nous libérerons. Quand j’étais plus jeune, je voulais que tout le monde m’aime, mais maintenant j’ai accepté qu’il y ait des gens qui ne m’aiment pas et c’est normal. C’est le privilège de la vieillesse. Nous nous effondrons, bien sûr, mais nous retrouvons notre calme », a-t-elle déclaré dans un éclat de rire.
Eddy Baillifard
Restaurateur au Raclett’House, Bruson (VS), 59 ans
Eddy Baillifard, heureux ambassadeur de la raclette dont les premiers mondiaux auront lieu en Valais en octobre.
«Se tenir loin des nouvelles attristantes»
Eddy Baillifard n’est jamais loin d’une meule à fromage et d’un four à raclette et incarne la bonne humeur. Depuis Bruson, où se trouve son restaurant Raclett’House, il s’adresse directement aux citadins bloqués dans la plaine sous la brume : « Si vous avez le blues, rejoignez-nous ! Le Valais est la Californie de la Suisse. On ne peut se sentir bien qu’avec la nature, le soleil et la montagne ! » Et si le spleen triomphe parfois de cette douceur de vivre, la solution est trouvée. « J’irai dans mon Mayen, j’inviterai des amis pour une raclette et on ouvrira une bonne bouteille. »
Ces dernières années, le quinquagénaire a obtenu le statut d’Ambassadeur du Val de Bagnes et des produits du terroir, ce qui lui a permis de voir du pays. Sous cette étiquette, il a participé à l’Exposition universelle de 2015 à Milan, en 2016 au Championnat d’Europe de football à Paris et en 2018 à la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Pyeongchang (Corée du Sud). Malgré le temps plutôt éprouvant pour les nerfs, son rire le précède partout. En matière de conseils, Eddy Baillifard recommande de se protéger des médias. « Je ne regarde pas les infos parce que ça me déprime. Je suis aussi très méfiant vis-à-vis des effets toxiques des fake news. » Ce gratteur d’exception serait-il heureux de vivre dans sa bulle ? Le Valais s’en empare complètement. « J’évite les mauvaises nouvelles. Ma vie tourne autour des marchés, des restaurants et des foires, et mon métier est d’accueillir les personnes qui aiment goûter à la raclette. C’est une énorme opportunité ! »
Yann Lambiel
Humoriste et imitateur, Morges (VD), 49 ans
Yann Lambiel sera sur scène les 12 et 13 janvier au Baladin à Savièse.
«Ecouter Johnny Hallyday qui chante «L’Envie»
« Ma vocation est d’être une couche de Mercurochrome rassurant dans la vie quotidienne du public. Je suis colporteur depuis plus de vingt-cinq ans et j’adore ça. Ma mission est de transmettre des émotions positives et du rire. » Professionnel de l’humour, Yann Lambiel rejette les pensées pessimistes qui l’animent parfois. « Je ne suis pas là pour ça. Mon travail est d’être de bonne humeur », répond-il. Ses passages sur la radio musicale lausannoise LFM, tous les jours à 7h50, témoignent de ce credo. Le Valais basé à Morges y livre depuis sept ans une capsule intitulée « L’info trafiquée ». Il s’adonne à son exercice favori, se moquant de l’actualité en se faisant passer pour une galerie de personnages.
L’artiste fait partie de ces gens qui s’endorment pour un quart d’heure de sieste et en sortent complètement reposés. « C’est une astuce qui m’aide beaucoup quand j’ai des problèmes. Je m’assois juste dans un coin pour dormir. Quand je me réveille, tout me semble tellement plus facile.
Et quand le quadragénaire énergique passe par un pitch, il écoute de la musique. « J’ai utilisé Genesis, Aerosmith ou Imagine Dragons. J’aime beaucoup Johnny Hallyday. La chanson qui me pompe, c’est « Envy » de Jean-Jacques Goldman. Après avoir joué « La Revue vaudoise » avec Jean-Luc Barbezat en fin d’année dernière, l’humoriste sera bientôt de retour sur scène le 13 janvier pour un one-man show. au Baladin à Savièse et le 10 mars au Théâtre du Crochetan à Monthey.
Caroline Leuba dite Dear Caroline
Instagrameuse, Paris et Genève, 33 ans
Pour Chère Caroline, le sport est important pour rester de bonne humeur.
«Sortir au grand air et courir par tous les temps»
Quiconque suit Dear Caroline sur Instagram sait que Caroline Leuba a un nouvel ami dans sa vie. « C’est un petit chien, un teckel miniature femelle de 6 mois nommé Tara. » L’ami à quatre pattes fait régulièrement des apparitions piquantes dans les histoires des Suisses. Gai et taquin, cet animal est en soi un antidote à tout cambriolage par son propriétaire. Caroline Leuba a pu adopter le chiot alors qu’il n’avait que 8 semaines. « Au début, elle se réveillait toutes les deux heures et ne me laissait pas dormir. Aujourd’hui, à 6 mois, ça va mieux. C’est une grande responsabilité, mais à part ça, c’est juste de la chance. »
Cet influenceur, qui compte plus de 200 000 followers sur Instagram, a pour adresse « @dearcarotte ». Pourquoi la carotte ? La jeune femme éclate de rire : « Carotte a toujours été mon surnom. Ma famille, mes amis : tout le monde m’appelle ainsi. » Malgré sa personnalité et son tempérament positifs, ce créatif, qui vit entre Paris et Genève, avoue être sujet aux sautes d’humeur saisonnières. « Je suis à mon meilleur au printemps et en été. L’automne et l’hiver sont plus difficiles pour moi. Je combats le blues par l’exercice. J’aime courir, faire de la randonnée et faire du sport. Il faut absolument continuer à faire de l’exercice pendant la mauvaise saison, c’est important pour le moral.
La journée d’hiver parfaite de la chère Caroline a tout pour plaire. « Je commence par une randonnée de deux heures en raquettes dans la neige. A mon retour je prends un bain chaud accompagné d’un soin esthétique. Et le soir on se retrouve entre amis pour une fondue dans une ambiance cocooning.»
Qui embellit synonyme ?
embellir
- Rendre beau ou plus beau. Synonyme : embellir, arranger, favoriser, orner, animer, embellir, orner, orner. – Littéraire : habiller, parer. Opposé : …
- Montrez quelque chose sous un meilleur jour. Synonyme : améliorer, embellir, flatter, idéaliser, poétiser, améliorer. – Littéralement : plus loin. Opposé :
Quel est l’adjectif pour embellir? a) La part. environs. adj. embellir, avant.
Quel est le synonyme de sublime? Nettoyer, transposer en idéalisant.
Quel est le mot de la même famille de embellir ?
â idéaliser, poétiser. Embellir une situation, la présenter sous un beau jour. â embellir. verbe intransitif devenir beau, devenir plus beau.
Quel est le synonyme de embellissement? Décoration, décoration, décoration. â Littéraire : embellissement, parure. 2. Embellissement.
Qui sont les illustres ?
Définition d’illustre Qui est connu pour son mérite ou ses qualités exceptionnelles. ➙ célèbre, célèbre.
Quel est le sens d’illustrer ? 1. Qui a acquis une renommée, une renommée ou une renommée par ses actes: Savant illustré. 2. Dont la réputation est formidable : Une ville au passé glorieux.
Qu’est-ce qu’une grande personne ? â Dont la réputation est très grande en vertu d’attributs, de mérites exceptionnels ou d’actes exceptionnels qui s’y rattachent. Synon. célèbre, célèbre, connu; Anton. sombre, inconnu, pudique.